L’analyse des deux pratiques funéraires actuellement autorisées (l’inhumation et la crémation) montrent qu’elles ont chacune un impact négatif important sur l’environnement, qu’elles sont non soutenables. En se basant sur les processus du vivant à la base du compostage, l’humusation qui est de plus en plus largement soutenue par les citoyen.ne.s vise la décomposition du corps sur une durée de 1 an pour aboutir à un humus de grande qualité, tout cela en respectant nos traditions et nos choix individuels.